Le mythe de la confiance innée…

Le mythe de la confiance innée…

Si tu crois encore que certaines personnes naissent avec une confiance inébranlable et que d’autres sont condamnées à douter toute leur vie… Arrête tout de suite ! La confiance en soi, ce n’est pas une baguette magique qu’on reçoit à la naissance. C’est une vraie compétence qui se travaille, se cultive et se renforce jour après jour.

Pourquoi on croit (à tort) que la confiance est innée ?

Parce qu’on voit des gens qui semblent toujours sûrs d’eux. Ils parlent fort, marchent avec assurance, prennent des décisions, prennent de la place sans hésiter… Mais devine quoi ? Eux aussi ont des moments de doute. La seule différence, c’est qu’ils ont appris à faire avec. Ils ont maitrisé l’art de relativiser🧘‍♂️

L’un des concepts erronés autour de la confiance en soi, c’est qu‘on la confond souvent avec l’arrogance. Une personne sûre d’elle ne cherche pas à écraser les autres, même en Off 😏. Au contraire, elle est souvent humble et ouverte !

On pense aussi que la confiance signifie zéro doute. TOTALEMENT FAUX ! Avoir confiance en soi, ce n’est pas ne jamais avoir peur, c’est avancer malgré ce sentiment 💪

On oublie aussi que tous ceux qui paraissent à l’aise en public ou osent prendre des risques n’ont pas « juste » de la chance. Ils ont essayé, échoué, recommencé. Et ça, ça change tout 🔄

Tu peux tout de même y arriver, sans potion magique 🧙‍♀️✨

Sois bienveillant avec toi-même. Je l’ai déjà dit dans un article précédent, mais si tu parlais à ton meilleur ami comme tu te parles parfois, vous ne seriez plus proches. Alors arrête d’être ton pire critique ! Remplace les « Je suis nul(le) » par « J’apprends et je progresse. » Chaque mot compte. 💫

Fake it ‘til you make it (mais intelligemment) 😏. Non, il ne s’agit pas de mentir ou de jouer un rôle. Mais adopter une posture confiante (littéralement) peut tromper ton cerveau et t’aider à te sentir plus confiant(e). Testé et approuvé ici (Hello Narcisse ✅).

Défie ton propre statuquo : Pas besoin de sauter en parachute demain, hein ! Mais défie-toi petit à petit. Parle en réunion, ose un compliment à un inconnu, tente cette activité qui te fait peur. Plus tu le fais, plus ça devient naturel.

Accepte et grandis en apprenant de l’échec. Les personnes confiantes échouent aussi, mais elles ne laissent pas leurs erreurs définir leur valeur. Elles apprennent, s’adaptent et reviennent plus fortes.

Célèbre tes victoires (même les petites) : Tu as osé dire ton opinion ? BRAVO. Tu as affronté un regard qui te mettait mal à l’aise ? INCROYABLE. Garde en tête tous ces petits moments où tu as été brave. C’est comme ça qu’on bâtit une confiance solide !

Par-dessus tout, sois patient(e) avec toi-même 💙

Personne ne devient un(e) boss de la confiance du jour au lendemain. Mais avec le bon état d’esprit et des petits efforts constants, tu peux atteindre un niveau où tu te sens bien dans ta peau et légitime dans ce que tu fais.

Et ça, ça vaut de l’or. ✨

Xoxo,
Narcisse ! 💋✨

L’art de poser ses limites !

L’art de poser ses limites !

Tu as déjà accepté un plan alors que tu voulais juste binge-watch ta série préférée sous un plaid ?

Ou dit « oui » à un service qui te mettait clairement mal à l’aise ? 😩 On est d’accord : dire « non », ce n’est pas toujours évident. Entre la peur de décevoir, d’être jugé(e) ou de passer pour une personne froide, on finit par s’oublier.

Mais bonne nouvelle : poser ses limites, ça s’apprend (et spoiler alert : c’est ultra-libérateur !).

C’est important d’apprendre à dire non. Si tu dis toujours oui aux autres, alors ça veut dire que tu dis souvent non à toi-même. Et franchement, qui mérite mieux ton énergie que… toi ? 💖

Préserver ton bien-être est la première raison pour laquelle tu devrais apprendre à dire non. Se forcer à tout accepter, c’est ouvrir la porte à la frustration et à l’épuisement. Et personne ne veut finir comme une pile usée🔋

Quand tu poses des limites, tu montres aux autres, et à toi-même, que ton temps et ton énergie ont de la valeur. Et ça, c’est puissant ! 💪

Apprendre à dire non contribue aussi ironiquement à la formation de relations saines. Une vraie amie, un bon collègue ou un proche qui te respecte comprendra tes limites. Si quelqu’un te fait culpabiliser à chaque refus, il est peut-être temps de revoir la dynamique de la relation… Juste une idée, comma ça 🤔

Ok, mais COMMENT dire non sans culpabiliser ?

Commence par arrêter de trop t’expliquer. Un non est une phrase complète. Tu n’as pas besoin d’écrire un essai de 1000 mots pour justifier ton refus. Un simple « Je ne peux pas » ou « Ce n’est pas possible pour moi » suffit largement. 🎤 End of the story!

Si ça te tient à cœur et que tu en as envie, propose une alternative. Parfois, on veut dire non sans fermer la porte à 100 % et c’est totalement OKAY !

Lâche prise avec le FOMO ! La peur de rater quelque chose (Fear Of Missing Out) te pousse souvent à dire oui ? Remplace-la par le plaisir de ne pas être surmené(e) par une succession de programmes et de te pouvoir te reposer. Imagine-toi posé(e) à la maison pendant que d’autres galèrent sous la pluie ou dans les embouteillages… Tu vois que ce n’est pas plus mal des fois ? 😌

Surtout, sois bienveillant(e) avec toi-même, car culpabiliser parce qu’on prend soin de sa santé mentale ? Nope, ce n’est pas dans le programme.

Rappelle-toi que ton bien-être passe en premier et que tu n’as pas à te justifier. Un non communiqué avec bienveillance est un oui à toi-même. ✨

Un petit dernier pour la route : ton non est un super-pouvoir !

Dire non quand il le faut, ce n’est pas être méchant(e), c’est être authentique envers toi-même. Plus tu le pratiques, plus ça devient facile.

Alors, prêt(e) à défendre tes limites avec un grand sourire ? 😏

Xoxo,
Narcisse ! 💋✨

Des Relations Sans Jugement

Des Relations Sans Jugement

Parfois, il arrive que les gens autour de nous aient décidé de qui nous sommes bien avant que nous n’ayons eu l’occasion de montrer qui nous sommes DEVENUS. C’est une expérience universelle, mais déconcertante : avoir travaillé sur soi, avoir évolué, et pourtant sentir que les autres restent accrochés à une version obsolète de nous.

Pourquoi est-ce que ça arrive ?

Ce n’est pas toujours par malveillance. Occasionnellement, les gens s’accrochent à leurs perceptions initiales parce qu’elles les rassurent. Cela leur permet de nous classer dans des cases bien définies dans leurs têtes, d’organiser leur monde en catégories simples. Mais pour nous, ça peut créer de la frustration. On se demande pourquoi ne voient-ils pas les efforts ? Pourquoi ne reconnaissent-ils pas ma transformation ?

C’est facile de rejeter la faute sur les autres, cependant, il faut aussi être honnête avec soi-même. Est-ce que nous exprimons suffisamment ce que nous ressentons ? Est-ce que nous avons déjà eu le courage de dire « Ça m’a blessé. Ça ne me correspond plus. » ? Et même lorsqu’on le dit, est-ce que la personne en face est dans la capacité de le comprendre et le reconnaitre ?

Nous attendons souvent que les autres lisent entre les lignes ou devinent nos blessures invisibles. Mais le silence est un terrain fertile et propice aux malentendus.

Il faut déjà s’aimer suffisamment pour refuser de se dénaturer.

Dans cette quête d’être compris et accepté, c’est facile de tomber dans le piège de la conformité. Se diminuer, se diluer, jouer un rôle pour mieux correspondre aux attentes des autres. Mais à quel prix ? Chaque fois que nous le faisons, nous nous éloignons un peu plus de notre véritable essence.

S’aimer suffisamment signifie poser des limites. Ça veut dire avoir la force de rester authentique, même si ça perturbe les préjugés ou les habitudes des autres. C’est accepter que tout le monde ne nous comprendra pas, et que ce n’est pas grave. L’important, c’est de se comprendre soi-même, de rester aligné avec ses valeurs et son évolution personnelle.

Il faut aussi avoir le courage de parler et faire la paix avec le silence interne et extérieur. Pour avancer dans des relations sincères, il faut avoir le courage d’exprimer ses vérités. Dire ce que l’on ressent, ce que l’on pense, sans attendre que l’autre le devine. Ça demande de la vulnérabilité, mais c’est aussi une preuve de respect envers soi.

Mais parfois, malgré nos efforts, il arrive que nous ne soyons pas entendus. Et dans ces moments, il est essentiel de ne pas nourrir de rancune. Tout le monde n’a pas la capacité ou la maturité émotionnelle de répondre à nos attentes. Quelques fois, les blessures que nous ressentons échappent à la conscience de l’autre. Et c’est là que nous devons choisir : rester prisonnier de la frustration, ou avancer en pardonnant, non pour les autres, mais pour notre propre paix.

Avoir des relations sincères et dépourvues de jugements est un défi qui exige un équilibre subtil et ce n’est jamais une route droite sans embûches. Il y a des moments où on maitrisera ce contrôle interne de soi, et d’autres ou on sera tout simplement humains.

Cela demande du courage pour se montrer tel que l’on est, de la patience envers ceux qui ne voient pas tout de suite notre véritable nature, et surtout, un profond respect pour soi-même. Parce qu’à la fin, ce qui compte vraiment, ce n’est pas d’être compris ou validé par tous, mais de vivre en harmonie avec qui l’on est devenu et qui on aspire à devenir.

Pour soi-même.

Narcisse Xx

La vie est ce qu’elle est…

La vie est ce qu’elle est…

Chaque début d’année, nous sommes nombreux à faire une liste de bonnes résolutions, animés par un mélange d’espoir et de motivation. C’est une tradition presque rituelle : créer une feuille de route pour devenir une meilleure version de soi-même. On aime tous se le dire et le dire aux autres.

Pourtant, combien d’entre nous arrivent vraiment au bout de cette liste ? Et combien d’entre nous se sentent submergés par la pression de devoir tout accomplir, souvent à la perfection ? Je peux dire sans honte que j’ai beaucoup plus souvent fait partie de la deuxième catégorie que la première.

La vérité, c’est que la vie est imprévisible. Aucun calendrier ou Visionboard n’est à l’abri d’imprévus. Une opportunité inattendue, une épreuve difficile, ou simplement un changement de priorités. Tout peut changer le cours de nos listes. Et pourtant, lorsqu’on ne réalise pas chaque objectif fixé au départ, on a tendance à se juger sévèrement, comme si un seul élément manquant effaçait tous les progrès accomplis.

La perfection est un piège, un mirage.

Pourquoi est-ce que l’on ressent ce besoin de tout cocher ? Peut-être parce qu’on associe chaque élément de la liste à notre valeur personnelle. Mais rater une résolution n’est pas synonyme d’échec. Chaque pas effectué dans la bonne direction est une victoire en soi, même s’il ne correspond pas au plan initial.

En réalité, c’est souvent notre propre regard, plus que celui des autres, qui nous pèse le plus. Nous sommes nos juges les plus sévères, oubliant de faire preuve d’empathie envers nous-mêmes et sachant très bien que si nous étions aussi durs envers nos amis que nous le sommes envers nos vies, combien de relations seraient encore intactes ?

Si je pouvais être lue par des jeunes personnes en quête de réponses, d’affirmations positives, de regards d’expérience, je leur dirais ces trois choses : Rêver, Visualiser, bien s’entourer

Malgré les difficultés, il est essentiel de continuer à rêver et à visualiser ses objectifs. Peu importe ce que les autres en pensent ou disent, nos ambitions sont valides. Il ne s’agit pas de les abandonner au premier obstacle, mais de les adapter, de les revoir et parfois, si besoin y est, de les redéfinir.

Un autre aspect crucial est l’entourage. S’entourer de personnes bienveillantes, qui nous élèvent plutôt que de nous rabaisser, peut transformer notre cheminement. Ces alliés, qu’ils soient amis, mentors ou membres de la famille, jouent un rôle important dans notre capacité à surmonter les doutes et à persévérer.

Pratiquer la gratitude au quotidien et célébrer les petites victoires est un autre conseil de valeur que je leur donnerai.

Une résolution partiellement accomplie, un objectif ajusté ou une simple amélioration d’une habitude valent la peine d’être célébrés. Trop souvent, nous attendons le « grand résultat » pour nous réjouir, mettant de côté les petites étapes qui mènent à ce résultat en question.

C’est dans ces moments de gratitude que nous renforçons notre motivation. Chaque petit succès raconte une histoire de détermination et de progrès, même si elle n’est pas parfaite.

Vos résolutions de début d’année peuvent être des guides, mais jamais des contraintes. Elles doivent vous pousser à rêver grand et à vous améliorer, mais elles ne devraient jamais devenir une source de culpabilité ou de stress. Ce qui compte, ce n’est pas de tout réaliser à la lettre, mais de continuer à avancer avec conviction.

Alors cette année, rêvez à votre guise, progressez à votre rythme, et surtout, souvenez-vous que chaque petit pas compte. Car, en fin de compte, l’important n’est pas seulement d’arriver à destination, mais d’apprécier le voyage.

Narcisse Xx

Journée Internationale des DROITS des femmes…

Journée Internationale des DROITS des femmes…

Chaque année, à la même date, nous célébrons cette occasion à bras levés. Nous avons hâte qu’elle arrive, pour que nous puissions avoir une journée entière qui nous appartient… Je me demande quelques fois si nous prenons réellement conscience de l’importance fondamentale et l’origine de cette date si marquante à travers le monde.

Chaque année, dans mon pays, les femmes arborent les mêmes couleurs, les mêmes tissus, et se regroupent à un point de rassemblement préalablement communiqué pour la fêter… mais que célèbrent-elles précisément ? Au moins 50%, si ce n’est plus, de ces femmes ne comprennent pas ce que cette date représente, n’en connaissent pas l’histoire, ni le poids.

Voici quelques droits des femmes à titre informatif :

  • Droit de voter
  • Droit à la propriété
  • Droit à l’éducation
  • Droit au travail
  • Droit à la formation professionnelle
  • Droit de vivre libre de toute discrimination et violence

Je cite ceux-ci, entre autres, car la vérité est qu’en Guinée, ces droits ne sont pas encore complètement respectés. Combien de femmes savent qu’elles peuvent et doivent voter ? Combien ont contribué à la construction de leurs domiciles, sans jamais voir leurs noms figurer  sur un quelconque document ? Combien se voient leurs salaires retirés par leurs maris, pères, oncles, frères ? Combien de jeunes filles sont déscolarisées par manque de moyen ou tout simplement de volonté ? Combien de jeunes femmes subissent quotidiennement du harcèlement ou de l’intimidation dans le milieu professionnel ? L’excision, on en parle ?

Dans plusieurs pays d’Afrique, une femme qui connait ses droits et les revendique est encore très mal vue. Elle est souvent jugée, et tous ses déboires, pourtant choses naturelles au cours d’une vie, sont assimilés à sa « mauvaise mentalité ».

Bref, célébrer une journée aussi importante sans exprimer les maux qui nous accablent n’a, selon moi, pas de sens. En prendre conscience, en parler, et encore mieux, agir !

Je n’ai clairement pas toutes les solutions, mais je pense que pour guérir un mal, il faut commencer par le reconnaitre et le communiquer.

Donc aujourd’hui et tout le reste de l’année, soyez partisan(e)s et avocat(e)s de ces droits. Personnifiez-les et encouragez l’éveil des consciences autour de vous. Même un geste, aussi petit qu’il soit, peut faire la différence. Payer la scolarité d’une jeune fille, devenir mentor dans une association pour femmes, proposer des formations gratuites pour les femmes dans votre cœur de métier, protéger vos filles de l’excision et bien plus ! Il y a tellement de choses que l’on peut faire !

En espérant que cet article vous trouve dans les meilleures conditions, je vous souhaite à toutes une excellente JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DES FEMMES !

X Narcisse X

Le courage, bien plus qu’un mot!

Le courage, bien plus qu’un mot!

🟤 LE MANQUE DE COURAGE PEUT NOUS FAIRE PERDRE PIED!

Le mot de cette semaine est COURAGE!

Combien de fois vous êtes vous menti à vous même, par peur d’admettre que vous aviez peut-être commis une erreur? Et cette peur, bien plus puissante qu’on le croit, vous a poussé à commettre des actes qui ne vous ressemblent pas.

Je suis de nature à me remettre en question et à m’interroger sur l’origine de mes pensées, mes opinions ou mes actions. En faisant cette introspection et en observant les gens autour de moi ces derniers jours, j’en suis arrivée à une conclusion: L’être humain manque terriblement de courage!

Ce manque de courage se manifeste au quotidien dans les petites et grandes décisions, et se traduit jusque dans les valeurs de certaines personnes. Il engendre même des vices et certains comportements destructeurs, pour la simple et bonne raison que l’Homme préfère se mentir et mentir aux autres, plutôt que d’avoir le courage de reconnaître ses erreurs et de les rectifier.

🟤 L’ego prend ainsi la place du courage et on se retrouve à vivre et accepter des situations dont on pourrait se passer.

▫️Rester dans une relation toxique par peur de l’opinion publique

▫️Accepter un salaire de misère parce qu’on n’ose pas demander ce que l’on pense mériter

▫️Ne pas postuler à l’emploi de ses rêves par peur du rejet

Sont des exemples parmi tant d’autres! Pour avoir ressenti cette peur, je sais à quel point c’est difficile de s’en défaire, mais je peux aussi vous dire que c’est plus que nécessaire.

Le temps et l’énergie perdus à force de vouloir camoufler, repousser ou faire l’autruche face à ma propre vie auraient pu être mieux mis à profit.

Et vous savez quoi? J’y travaille encore, tous les jours! Ce n’est pas un chemin droit, mais rempli de virages et de détours.

Le seul conseil que je peux donner c’est de se jeter à l’eau. Avoir confiance en soi et en Dieu, et se dire qu’on trouvera toujours une solution une fois que l’on fait preuve de courage.

Je nous le souhaite à tous! Bon début de semaine!

#LundiEnsoleillé #MondayMotivation #LeMotDeLaSemaine

Gratitude is more than a feeling… it’s an attitude!

Gratitude is more than a feeling… it’s an attitude!

HAPPY NEW YEAR!

I cannot believe that we are already in 2023! Where has the time gone?!

Sometimes I feel a bit overwhelmed with how fast things change and people evolve. It can become a source of anxiety if you choose to compare your life or where you stand to other people’s lives and accomplishments. As human beings, the pressure of delivering becomes so important that we tend to forget to celebrate the little wins.

We live in a heavily digitally connected world, making it possible for someone like me sitting in her office in Guinea to reach someone in Canada or South Korea through an article, for instance. This era of connectedness is also the cause of angst to so many, because it is likely to show you how everyone else is doing what you are ‘supposed’ to be doing at a certain stage of your life. To put a bow on the grand achievements, overshadowing the continuous efforts and work that it has taken those people, and is probably taking you, to get there.

While it contributes to creating an unrealistic set of expectations for a lot of people, I still believe that the attitude towards this digital world is more to blame than the content itself. If I had to put it in numbers, I would say that it is a 51-49 % type of situation, with the highest number going to people’s reaction to the contents presented.

A simple example: we all know and have probably once been a part of the ‘New Year, New Me’ clan for all the wrong reasons. Reading the public’s resolutions at every beginning of the years, most look like badly veiled attempts to sending a message to an old friend, old lover, old boss, whatever the case may be. And even though it’s healthy to let it out from time to time, it’s important to not let it become your brand.

Folks these days have a tendency to act following the way they want to be perceived or they want to appear, rather than really embodying it. Instead of living in and embracing the moment, they commit time and energy to the wrong things.

What has worked for me personally is the practice of constant gratitude. Gratitude for small but essential matters such as my health, my mental and financial stability, my self confidence and all the things I have worked, and keep working so hard to nurture and protect.

You see, I view gratitude as more than a feeling… it’s an ATTITUDE!

As soon as you start performing gratitude and implimenting it in your everyday life, you will be less and less affected by all the noise around you.

At the beginning of this year when I reflected on 2022, I realized that I had lost so many friends, and I started questioning myself about where things might have gone wrong. What I found out was such an epiphany moment for me!

I have realized that what these people had in common was the fact that I diluted myself to be friends with them while they were NEVER even meant to be in my circle. We were never meant to be friends because I had to water down myself, my views, my values, for us to sustain a relationship. As soon as I stopped, the link was broken.

This does not mean that they are bad people, it just means that they are not MY people. And instead on dwelling on the lost relationships, I could focus on the people who have been consistantly rock solid for me. Those who make as much effort, give as much weigth to our tie than I do.

Gratitude is the one that took me to that place of peace of mind.

Practicing gratitude gives you perspective, it gives you a range of understanding of other people, it opens your eyes to all the good parts of your life. It even makes you appreciate the less good ones, because you quickly understand that everything in this life is a passing moment.

IT WILL PASS!

So my advice to you on this fine beginning of the year is to make of gratitude more than a trend, a mood, a feeling… make it your attitude!

I hope you’ve all spent the best holidays and that going back to work has not been too challenging!

Sending you all the love in the world!

Xoxo, Narcisse!!!

“Gratitude turns what we have into enough.” – Anonymous
Le Déni

Le Déni

Hello, beautiful people!

Représentation de comment je vous accueille aujourd’hui!

J’espère que ce début de semaine est synonyme de positivité et d’abondance dans tous les aspects de vos vies! Le temps passe tellement vite en ce moment que je ne me retrouve plus! Je ne m’étais pas rendue compte que mon dernier article remontait à si loin!

BREF!

Me revoilà avec du contenu comme vous l’aimez (Je pense)!

Je passe rarement par quatre chemins pour annoncer les thèmes de mes textes, simplement parce que je suis de nature impatiente et que je veux tout simplement que vous sachiez d’entrée à quoi vous attendre.

Aujourd’hui je vous parle de la notion de déni. Le déni est par définition très simple, l’action de dénier, de refuser de reconnaître la vérité ou la réalité d’une situation. Dénier, c’est faire le choix de ne pas voir ou accepter une réalité.

Le déni peut se manifester dans plusieurs circonstances de la vie quotidienne. On peut refuser d’accepter la maladie d’un(e) proche, ou refuser d’accepter une rupture amoureuse et se convaincre qu’un retour est possible par exemple. Lorsque les faits ne nous conviennent pas, se convaincre que la situation est temporaire, voire imaginaire.

En tant qu’individus changeants, c’est un procédé par lequel nous passons tous à un moment de nos vies. Il peut être rapide et anodin ou au contraire créer des situations encore plus compliquées par refus d’acceptation.

Je trouve le cerveau de l’Homme très fascinant. Pour se protéger, il est capable d’agir de manière complètement autonome. J’ai souvent entendu parler de personnes qui ne se souviennent de leurs traumatismes que bien des années après, comme si le cerveau les avait enfoui dans une partie dont la personne même ignorait l’existence.

Tous les types de déni sont psychologiques, mais je m’intéresse aujourd’hui à celui créé par la gêne et la colère. Ces deux émotions nous poussent parfois à ne pas reconnaitre nos erreurs et à se convaincre que l’on est dans le vrai et que c’est notre prochain qui a une manière erronée de voir le monde, juste pour ne pas avoir à admettre que l’on s’est trompé.

J’ai déjà entendu des gens se dire zen alors qu’ils sont extrêmement nerveux; d’autres qualifier leur entourage de susceptible alors qu’ils sont les premiers à tout prendre de travers; à dire qu’ils ne recherchent à plaire au monde alors qu’ils passent leurs vies à attendre la validation des autres; ou encore se convaincre qu’ils sont la personnification de l’humilité alors qu’ils en manquent énormément. C’est toujours la faute de l’autre, même quand ils agissent/ réagissent mal. Et ils sont toujours les premiers à fuir la confrontation, prétextant ne pas aimer les problèmes.

Ils sont tout simplement trop gênés ou en colère pour admettre qu’ils ne sont peut-être pas irréprochables, et la remise en question est souvent une notion qui leur est étrangère. Elle prend beaucoup de temps (et nécessite des fois des actions) pour qu’une autoréflexion s’impose.

Ce genre de déni n’est pas forcément à critiquer, dans la mesure ou on suppose qu’eux même ne s’en rendent pas compte. Certains on été élevés avec des principes et des valeurs qui sont, ce n’est que mon opinion, tout simplement synonyme d’un manque d’éducation. Ce comportement commence à être reprochable lorsqu’une fois notifiés de leurs actions ou d’une situation, ils choisissent de ne pas y remédier et de se positionner en victime (ou dans une posture défensive). A partir de là, il n’y a plus d’excuses.

Je pense qu’il est très important pour votre santé mentale et psychologique de vous éloigner de ce type de personnes. Votre estime de soi risque d’en prendre un coup si vous vous entêtez à les garder dans votre entourage direct. Ce sont généralement des manipulateurs qui ne reculeront devant rien pour vous faire passer pour qui vous n’êtes pas, et même des fois vous pousser à bout et vraiment faire de vous cet individu aigris qu’ils aiment pointer du doigt pour justifier leurs mauvaises actions.

Combien de fois j’ai entendu dire que j’étais ‘compliquée’, que j’étais ‘difficile’, que patati et patata. A tel point qu’à un moment de ma vie, je commençais toutes mes phrases par ‘Je sais que je suis compliquée’ etc. J’étais devenue mon propre ennemi et je ne m’en rendais même pas compte.

Ceux qui sont dans un déni volontaire peuvent être de véritables bourreaux pour vos esprits, et par leur nature manipulatrice, ils peuvent vous convaincre que leur réalité est la bonne.

Si vous avez reconnu quelqu’un de votre entourage dans cet article, commencez par échanger avec lui/elle. Si la communication n’entraine pas d’amélioration, essayez encore. Autant de fois que votre volonté vous le permet, sans mettre en mal votre paix du coeur.

Dès que vous sentez que leur présence met en danger votre paisibilité, votre positivité, votre enthousiasme et votre optimisme, prenez vos jambes à vos cous!

Keep living in your light and with your inner peace intact!

Voilà pour aujourd’hui! Je vous fait plein de bisous et vous souhaite une superbe fin de semaine!

With love, Narcisse Xx

La Nature Humaine

La Nature Humaine

Narcisse’s Diary s’est refait une beauté! Nouveau logo, nouvelle aventure!

En grandissant, ma mère m’a toujours enseigné qu’il fallait éviter de faire à son prochain ce que l’on n’aimerait pas qu’il nous fasse à son tour.

On ne peut exiger d’une personne respect et considération, si nous ne lui en donnons pas en retour.

On ne peut exiger d’être écouté, d’être compris, si on ne fait pas l’effort d’écouter et d’essayer de comprendre.

Une notion qui porte tout son sens, selon moi.

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