Le Déni

Le Déni

Hello, beautiful people!

Représentation de comment je vous accueille aujourd’hui!

J’espère que ce début de semaine est synonyme de positivité et d’abondance dans tous les aspects de vos vies! Le temps passe tellement vite en ce moment que je ne me retrouve plus! Je ne m’étais pas rendue compte que mon dernier article remontait à si loin!

BREF!

Me revoilà avec du contenu comme vous l’aimez (Je pense)!

Je passe rarement par quatre chemins pour annoncer les thèmes de mes textes, simplement parce que je suis de nature impatiente et que je veux tout simplement que vous sachiez d’entrée à quoi vous attendre.

Aujourd’hui je vous parle de la notion de déni. Le déni est par définition très simple, l’action de dénier, de refuser de reconnaître la vérité ou la réalité d’une situation. Dénier, c’est faire le choix de ne pas voir ou accepter une réalité.

Le déni peut se manifester dans plusieurs circonstances de la vie quotidienne. On peut refuser d’accepter la maladie d’un(e) proche, ou refuser d’accepter une rupture amoureuse et se convaincre qu’un retour est possible par exemple. Lorsque les faits ne nous conviennent pas, se convaincre que la situation est temporaire, voire imaginaire.

En tant qu’individus changeants, c’est un procédé par lequel nous passons tous à un moment de nos vies. Il peut être rapide et anodin ou au contraire créer des situations encore plus compliquées par refus d’acceptation.

Je trouve le cerveau de l’Homme très fascinant. Pour se protéger, il est capable d’agir de manière complètement autonome. J’ai souvent entendu parler de personnes qui ne se souviennent de leurs traumatismes que bien des années après, comme si le cerveau les avait enfoui dans une partie dont la personne même ignorait l’existence.

Tous les types de déni sont psychologiques, mais je m’intéresse aujourd’hui à celui créé par la gêne et la colère. Ces deux émotions nous poussent parfois à ne pas reconnaitre nos erreurs et à se convaincre que l’on est dans le vrai et que c’est notre prochain qui a une manière erronée de voir le monde, juste pour ne pas avoir à admettre que l’on s’est trompé.

J’ai déjà entendu des gens se dire zen alors qu’ils sont extrêmement nerveux; d’autres qualifier leur entourage de susceptible alors qu’ils sont les premiers à tout prendre de travers; à dire qu’ils ne recherchent à plaire au monde alors qu’ils passent leurs vies à attendre la validation des autres; ou encore se convaincre qu’ils sont la personnification de l’humilité alors qu’ils en manquent énormément. C’est toujours la faute de l’autre, même quand ils agissent/ réagissent mal. Et ils sont toujours les premiers à fuir la confrontation, prétextant ne pas aimer les problèmes.

Ils sont tout simplement trop gênés ou en colère pour admettre qu’ils ne sont peut-être pas irréprochables, et la remise en question est souvent une notion qui leur est étrangère. Elle prend beaucoup de temps (et nécessite des fois des actions) pour qu’une autoréflexion s’impose.

Ce genre de déni n’est pas forcément à critiquer, dans la mesure ou on suppose qu’eux même ne s’en rendent pas compte. Certains on été élevés avec des principes et des valeurs qui sont, ce n’est que mon opinion, tout simplement synonyme d’un manque d’éducation. Ce comportement commence à être reprochable lorsqu’une fois notifiés de leurs actions ou d’une situation, ils choisissent de ne pas y remédier et de se positionner en victime (ou dans une posture défensive). A partir de là, il n’y a plus d’excuses.

Je pense qu’il est très important pour votre santé mentale et psychologique de vous éloigner de ce type de personnes. Votre estime de soi risque d’en prendre un coup si vous vous entêtez à les garder dans votre entourage direct. Ce sont généralement des manipulateurs qui ne reculeront devant rien pour vous faire passer pour qui vous n’êtes pas, et même des fois vous pousser à bout et vraiment faire de vous cet individu aigris qu’ils aiment pointer du doigt pour justifier leurs mauvaises actions.

Combien de fois j’ai entendu dire que j’étais ‘compliquée’, que j’étais ‘difficile’, que patati et patata. A tel point qu’à un moment de ma vie, je commençais toutes mes phrases par ‘Je sais que je suis compliquée’ etc. J’étais devenue mon propre ennemi et je ne m’en rendais même pas compte.

Ceux qui sont dans un déni volontaire peuvent être de véritables bourreaux pour vos esprits, et par leur nature manipulatrice, ils peuvent vous convaincre que leur réalité est la bonne.

Si vous avez reconnu quelqu’un de votre entourage dans cet article, commencez par échanger avec lui/elle. Si la communication n’entraine pas d’amélioration, essayez encore. Autant de fois que votre volonté vous le permet, sans mettre en mal votre paix du coeur.

Dès que vous sentez que leur présence met en danger votre paisibilité, votre positivité, votre enthousiasme et votre optimisme, prenez vos jambes à vos cous!

Keep living in your light and with your inner peace intact!

Voilà pour aujourd’hui! Je vous fait plein de bisous et vous souhaite une superbe fin de semaine!

With love, Narcisse Xx

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